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Un espace cosmique se développant à partir d’un point, d’un noyau ou embryon. Mon travail de dessin, de composition, de graphisme se développe depuis les années 60 avec les 2000 dessins  de 1962-1963.
Ils constituent une origine qui se prolonge jusqu’à maintenant de façon plus ou moins  apparente mais très inspirée par la Courbe.

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« Glyphes Maya » – Sanguine sur papier – Raymond Dumoux – 2019

Partant d’un point, d’un embryon, un dessin se déroule en spirale de plus en plus grande pour se développer ou se propager alentour avec de multiples ramifications qui aussi vont se développer en courbes parallèles se superposant. C’est la caractéristique d’un développement embryonnaire.
Certaine page des dessins sont très abstraites mais ensuite se diversifient. Elles font apparaitre des silhouettes animale ou humaine des yeux, muscles, bouches… Des corps assez complets évoquant les Vénus préhistoriques par exemple.
Ainsi tout un monde va naitre ! : une sorte de Biodiversité.
Ces  courbes parallèles paraissent aussi comme des courbes de niveau définissant les relief du sol de la montagne comme des rochers ou sculptures égyptiennes.
Jusqu’à relier les courbes de jardins Zen aux reliefs créés sur les Rochers de Gavrinis en Bretagne.

¨Plus simplement ce travail de la courbe trouve un aboutissement dans certains portrait et dans toutes le figurations de mes toiles qui en effet conservent cet aspect nature dans le développement de la souplesse des corps, des drapés et des anatomies. »  … Jusqu’au visage du Christ de Claude Mellan.

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« Dessin à la plume » – Encre de Chine sur papier – Raymond Dumoux – 1970
Tag(s) : #Le dessin, #Travail en cours
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